About

Qui suis-je ?

Bonjour. Je m’appelle James et je suis ravi de t’accueillir pour faire plus ample connaissance. Découvrir comment créer ta vie sans stress est pour toi une démarche tout ce qu’il y a de plus personnel. La confiance entre nous s’avère essentielle, pour ne pas dire indispensable, pour choisir d’avancer ensemble. Nul doute que tu trouveras réponse aux questions que tu te poses à mon sujet dans les quelques lignes qui vont suivre. L’option que j’ai choisie : t’expliquer à la fois mon parcours et ce qui me motive dans mes activités.

Tu as quelques instants à m’accorder ?

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Après mon Bac, je n’avais aucune idée de la voie que j’allais suivre.

Par dépit, j’avais commencé une première année en économie. Sans grande conviction. Trois mois ont suffi pour mettre à mal le peu d’enthousiasme que suscitait en moi cette discipline. Certainement passionnant mais définitivement pas mon truc. Erreur d’orientation.

Comme j’avais du temps libre (beaucoup de temps libre) en attendant la prochaine rentrée, je me suis mis alors à musarder dans les rayons spécialisés des librairies.

Au détour un de ces rayons, j’allais découvrir un premier livre puis un second. Peut-être les as-tu lus toi aussi. Ces deux ouvrages allaient chambouler toute ma vie.

Le premier fut celui de Émile COUÉ : La méthode Coué – La maîtrise de soi-même par l’autosuggestion consciente

Le second fut celui de Carl JUNG : Psychologie de l’inconscient.  

Je venais de découvrir tout simplement un centre d’intérêt inédit pour moi : la psychologie. Cette discipline allait très vite se transformer en véritable passion au gré des nombreuses lectures qui ont suivi.

Pendant la période estivale qui a suivi ma découverte livresque, j’occupais un job d’étudiant dans un Centre Hospitalier Régional Universitaire. Au cours de cet été, j’ai eu la chance de rencontrer le chef de service d’une unité de psychiatrie. Il était également enseignant dans le département de psychologie à l’université. À l’issue d’une  conversation fort passionnante, dont je me souviens encore parfaitement bien, ma voie était toute tracée. Je serai un de ses élèves à la rentrée.

Une préconisation qui m’a coûté ma carrière universitaire

Le lendemain de cet entretien, j’étais inscrit à l’université en première année de psychologie.

Comme tu peux le constater, ça n’a pas trainé.

Par contre, je n’avais aucune idée jusqu’où cela me conduirait.  J’avais juste la ferme conviction d’y embrasser ma vocation. Ni plus ni moins. Et j’ai adoré cette formation, sans modération. L’éclate TO-TA-LE.

Quelques années plus tard, soutenance de thèse dans une nouvelle discipline qui venait tout juste d’arriver en France : la psychologie de la santé. Mon sujet de recherche : la gestion du stress chez les patients hospitalisés pour une intervention chirurgicale.

Un peu hic cependant.

Lors de ma soutenance de thèse, j’ai eu ce que tu pourrais qualifier aisément de « fausse bonne idée ». Je me revois en train de présenter mes résultats, graphiques et chiffres à la clé. Tout se déroulait pour le mieux jusqu’au moment où, dans mes préconisations, j’ai suggéré que l’hypnose puisse être utilisée dans la gestion du stress des patients hospitalisés. Oups…

Aujourd’hui, l’hypnose se démocratise dans de très nombreux domaines. Elle se pratique dans des services de médecine pour la plus grande satisfaction et confort des patients. Sauf qu’à l’époque (pas si lointaine quand même…), cette prise de position s’apparentait plus à un sacrilège qu’à la vision d’un précurseur. Chaud. Très chaud. Au revoir donc la carrière universitaire. Une croix dessus. 

Mais bon, je te rassure, je n’avais pas non plus choisi cette voie en plan A mais plutôt en B, voire C. 

Une nécessité et une volonté d’ouverture

Une fois le doctorat en poche, j’ai choisi de créer mon propre cabinet.

En tant que thésard, j’avais pris goût à la formation. Cette activité occuperait donc la moitié de mon temps. L’autre moitié serait réservée pour les consultations dans le domaine de la gestion du stress.

Et le travail, déjà à l’époque, ne manquait pas !

J’allais enfin pouvoir mettre en application tout ce que j’avais appris à l’université. Tu n’imagines pas l’excitation du moment… Il me tardait de me lancer à corps perdu dans l’accompagnement des personnes en proie au stress.

Très vite, je me suis rendu compte qu’il me manquait quelque chose. Le modèle théorique sur lequel je m’appuyais était, certes, intéressant mais je le trouvais insuffisant. J’avais le sentiment d’être trop rapidement limité dans mes prestations.

Il me fallait indiscutablement enrichir ma palette d’accompagnant pour aller un peu plus loin. Pour cela, il me fallait me confronter au terrain pour voir comment cela se passe dans la vraie vie. Après tout, si tu analyses la situation, je n’étais qu’un universitaire qui venait tout juste de sortir de son laboratoire de recherche académique.

Changement radical d’orientation avec une activité de recruteur et de formateur en management au sein d’un cabinet de conseil auprès des entreprises. J’y ai appris alors mon métier de consultant. J’ai pu appréhender également le stress sous l’angle managérial en créant notamment une échelle de mesure des pratiques managériales. 

C’est aussi à cette période que j’ai découvert l’Analyse Systématique (que je n’ai jamais cessé d’utiliser depuis), l’Analyse Transactionnel, la PNL. Je me suis formé à des outils comme le MBTI (test de personnalité selon les typologies de Jung). En d’autres termes et pour te la faire courte, j’ai ouvert mes œillères d’universitaire.

Grand bien m’a pris à ce moment-là : je me suis alors rendu compte qu’il y avait bien d’autres approches vis-à-vis du stress que celles que j’avais étudiées jusqu’alors à la fac.

Une catastrophe et une opportunité

Tout allait très bien dans ce cabinet de conseil jusqu’aux événements du World Trade Center. La conséquence indirecte de cette tragédie : le secteur du conseil auprès des entreprises a sombré dans un véritable marasme suite aux attentats. Les licenciements pleuvaient à la pelle. Je ne suis pas passé entre les gouttes. 

Désormais au chômage, j’ai été pris en charge par une structure pour m’aider à retrouver une nouvelle opportunité professionnelle. Comme je fréquentais régulièrement les locaux de cette structure, la personne en charge de mon dossier m’a proposé de venir y faire un remplacement de congés maternité. Quand tu reçois ce type de proposition, autant aller voir de quoi il retourne.

Allez hop ! Ni une ni deux, et me voilà alors de l’autre côté de la barrière.

Quand on aime, on ne compte pas. À la suite du premier CDD, j’ai enchainé avec un second avant de décrocher le CDI. J’y suis resté 11 ans. Tu en conviendras bien volontiers, on n’y reste pas autant de temps par hasard. Ce que j’ai le plus aimé durant cette période ? Écouter, accompagner, conseiller, motiver, et surtout être là pour les personnes avaient besoin d’aide.

Durant toutes ces années, j’ai pu retrouver ce que j’avais étudié dans ma thèse. Quand une personne se trouve dans cette situation délicate et difficile de la recherche d’emploi, je t’assure que la gestion du stress fait une réelle grosse différence. Je l’ai observé tellement de fois que cela ne pouvait que m’inviter à poursuivre mon cheminement et mes recherches en matière de gestion du stress.

Cette observation était encore plus criante avec les porteurs de projet pour une création d’entreprise. Là carrément, vois-tu, ça ne pardonne pas. Une mauvaise gestion du stress, et les probabilités de courir vers l’échec augmentent considérablement. Et ça peut faire vraiment très mal tant au moral qu’au niveau de la confiance en soi. 

Oui, j’imagine ce que tu peux penser : mon jugement était faussé par une sensibilité particulière. Mon côté psy…

Pourtant, je peux t’assurer que parmi les centaines de personnes que j’ai pu accompagner avec des activités de conseil, il n’y avait pas photo quant à la place centrale de la gestion du stress. Et surtout de son impact sur les évolutions de situation professionnelle (et personnelle).

Un gros challenge et une déception

Fort de toutes expériences, logiquement, je me suis mis à écrire un ouvrage sur la gestion du stress.

Oui, oui, tu as bien lu. J’ai bien écrit un bouquin. En trame de fond, j’ai toujours gardé en tête ce que j’avais pu observer et analyser à de multiples reprises dans un cadre professionnel (la recherche d’emploi, la création d’entreprise et le management) ou bien dans un cadre personnel (la santé, les études, le sport). Entre ces expériences, mes lectures, mes formations et mes expérimentations de terrain, je suis parvenu à élaborer une méthodologie structurée de gestion du stress.

J’ai été publié. On m’avait tellement rabâché que ce n’était pas possible. Que la part de ceux qui réussissent à décrocher le sésame avec un éditeur est infinitésimale. Cool les encouragements !

Pour ma part, j’ai eu deux propositions fermes. Et je me suis même octroyé le luxe de pouvoir choisir celle avec laquelle j’étais le plus en phase. 

Suite à cette parution, j’ai continué à accompagner des personnes en utilisant la méthode que j’avais créée. J’avais toutes les raisons et la conviction pour le faire. Et ça marchait vraiment très bien.

À un détail près.

Lorsque les personnes appliquaient ce que je leur transmettais, elles parvenaient à gérer leur stress sans problème. Cependant, elles restaient confrontées au stress. En gros cela donnait : exposition au stress – application de la méthode de gestion du stress – baisse du niveau de stress – exposition au stress – application de la méthode de gestion du stress – baisse du niveau de stress – exposition au stress, etc.

Pour les personnes que j’accompagnais, tout allait très bien. Elles étaient ravies de pouvoir utiliser une méthode qui leur permettait de gérer leur stress quand elles en avaient besoin. Sauf que, de mon côté, je peux te l’avouer : ça n’allait pas du tout.

Moi qui souhaitais apporter une démarche pour mettre les personnes à l’abri du stress et non qu’elles continuent à y être exposées :  raté !

Ce que je voulais apporter aux autres n’était pas en phase avec ce que j’obtenais. Certes, j’aurais pu continuer ainsi. Après tout, bien d’autres le font. Mais ce n’est clairement pas ma manière d’aborder les choses.

Pas de choix, il fallait que je remette tout à plat.

Je ne te raconte pas la déception. Avoir la sensation de se trouver dans une impasse après tout ce travail ! Certes, je n’avais pas tout perdu non plus. Mais pas de choix si je voulais atteindre mon objectif ; il me fallait reprendre tout depuis le début.

Je me suis perdu en cours de route

Un chantier titanesque m’attendait. Et je n’exagère pas quand je te dis ça.

J’ai repris tout ce que j’avais appris durant ma formation universitaire, avec mes lectures, lors de mes observations au cours de mes diverses expériences professionnelles.

Tout y est passé.

J’avais le sentiment d’avoir loupé quelque chose en cours de route.

Cela m’a pris du temps. Beaucoup de temps. Qu’importe. Il me fallait trouver ce qui manquait à mon approche.

Oui mais voilà… Malheureusement, c’est aussi à cette période que j’ai succombé aux chants des sirènes qui vantaient des lendemains qui chantent.

Stupidement (oui, oui, stupidement, je te confirme), je me suis lancé à corps perdu dans une démarche carriériste au sein de la structure où je travaillais.

Stupidement car je ne voyais pas que je m’écartais de ce qui m’intéressait vraiment. Un problème de vue…

Les écoles prestigieuses, les formations pour gravir les échelons, les promotions, les résultats qui claquent pour flatter l’ego, les séminaires dans des endroits somptueux. Je me suis enivré de ce cocktail jusqu’à plus soif. Jusqu’à saturation.

Et je n’ai rien vu venir (décidément, un problème de vue récurrent à l’époque). Jusqu’au moment où… BOUM ! Coup de théâtre : viré !

Je me suis retrouvé dans la même situation que ces personnes que j’accompagnais quelques années auparavant. Quand on parle de cordonniers les plus mal chaussés, disons qu’en ce qui me concerne, je me suis alors retrouver en tong.

Ouh la-la-la. Un choc mo-nu-men-tal. De ceux qui laissent complètement sonné sur le carreau.

Mais le choc suivant allait être plus terrible encore. Bien plus terrible.

Tout perdre pour tout gagner

Une page de ma vie allait se tourner une bonne fois pour toute.

En quelques minutes, j’ai tout perdu à la suite d’un grave problème de santé. En moins d’une demi-heure plus précisément. Une éternité.

Et quand je te dis tout perdu, ce n’est pas juste une figure de style histoire de faire genre. Non, pas là. Ma santé, mes activités professionnelles, mes revenus, la confiance en moi, tout ça envolés et bien plus encore.

Par contre, la peur quasi quotidienne et des blocages en pagaille ont vite envahi mon quotidien, au point d’en faire un véritable enfer. Du pur concentré de stress. Non raffiné. Brut. Pour ne pas dire carrément brutal. 

En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il me fallait repartir de zéro. Enfin de zéro, pas tout à fait non plus. Dans ma douloureuse expérience, j’ai gagné un bonus de taille. Un vrai joyau dont j’ai apprécié tout de suite l’immense valeur.

Alors que j’étais en équilibre sur ce fil infime où la vie peut basculer d’un côté ou de l’autre, un élan hyper puissant m’a poussé du bon côté avec un magnifique cadeau. Le plus beau qui soit.

Stop ! Je t’arrête tout de suite. Ne vas pas imaginer que je me suis retrouvé face à une entité lumineuse bienveillante flottant à un mètre du sol qui m’a soufflé un secret à l’oreille en disant : « vaaaaaa ». Si d’aucuns ont eu cette chance, pas moi.

Cette expérience forte et inoubliable venait de l’intérieur. Du plus profond de mes entrailles. C’est très difficile à décrire. Je ne sais toujours pas comment t’en parler même des années après. Comme une énergie en mouvement qui te remet en ligne et qui fait que ça repart pour un tour !

J’ai eu le privilège de découvrir, grâce à cette expérience, l’élément qui manquait à l’approche que j’élaborais depuis tant d’années au sujet du stress. La clé de voute qui me permet de rassembler tous les éléments les uns avec les autres.

Rien que pour cela, je t’assure que ça valait la peine.

Oh que oui, ça valait la peine !

Une remise en question... avec des questions !

Pourquoi moi ?

Pourquoi maintenant ?

Pourquoi de cette manière-là ?

Comment en suis-je arrivé là ?

Qu’est-ce que je vais devenir ?

Voici quelques-unes des questions que beaucoup de personnes qui souffrent de stress se posent tôt ou tard. Je me les suis posées moi aussi. Et plus d’une fois ! 

Et des questions, ce n’est pas ce qui manquent dans ces moments-là. Clairement pas… Non, clairement pas.

Je vivais à mon tour ce que j’avais observé et étudié toutes ces années chez les patients hospitalisés pour une intervention chirurgicale, les demandeurs d’emploi, les créateurs d’entreprise, les managers, etc. Le stress en direct avec son florilège de questions.

Force est de constater qu’en période de stress,  toutes ces questions occupent le terrain au niveau de l’esprit. Elles ne lâchent pas l’affaire et reviennent en boucle encore, et encore, et encore. Une vraie ritournelle pour perdre pied un peu plus chaque jour.

Face à une problématique que l’on ne parvient pas à résoudre, les questions jouent un rôle central : elles déclenchent, entretiennent et développent le stress.

La nature des questions que l’on se pose en pareille situation, la manière de les formuler et leur degré d’exigence conditionne la suite, notamment au niveau du choix des réponses apportées.  

Une chance pour moi malgré tout : avec plusieurs expériences de recrutement durant mon parcours professionnel, je dois bien avouer que je me « nourris » de questions. Je trouve ça tellement enrichissant.

Dans le domaine du recrutement, elles me permettent de découvrir les personnes que je rencontre et de faire plus ample connaissance avec elles.

Dans la vie de tous les jours, il y a toujours un sujet pour pouvoir développer ses connaissances.

J’adore cet exercice.

Je ne m’en lasse jamais.

Et côté question, j’ai été servi !

En version auto-question, celles-ci m’ont permis de me redécouvrir et de me reconstruire patiemment, un pas après l’autre, un progrès après l’autre, un bonheur après l’autre, avec la certitude que plus rien ne serait comme avant.

C’est à partir de la gestion de questions que j’ai élaboré une approche pour créer sa vie sans stress.

J’allais être mon propre cobaye pour tester cette nouvelle approche de gestion de stress.

Et tu sais quoi ?

J’y suis arrivé ! Me voici aujourd’hui devant toi. ENFIN !

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